La réhabilitation des personnes survivantes des conflits (femmes et filles violées y compris les marginalisées et vulnérables) passe nécessairement par la prise en compte des individus considérés dans leur environnement familial et communautaire. L’interconnexion ou la force vitale qui relie les différents acteurs fait que le bien être ou mal être des uns influe sur les autres et réciproquement.
L’autre Congo plein de dignité, le Congo de l’Espoir, qui vit et grandit sans bruit, un Congo tout aussi réel que dynamique intégrant les femmes, les enfants, les adolescent.e.s survivant.e.s des violences sexuelles et celles basées sur le genre y compris ceux/celles marginalisé.e.s et ceux/celles avec les IST et VIH/SIDA.